« Si la grève persiste nous serons obligés de défendre le droit de scolarisation de nos enfants auprès de la justice », a affirmé Hadj Bachir Dellalou le Président de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves (FNAPE), à Liberté. Une réaction à la décision du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (CNAPESTE), annoncée mercredi soir, de poursuivre la grève. Il a indiqué également que cette mesure à laquelle il « ne voudrait pas y aller » se fera à l’issu d’un conseil national, dans peu de jours.
Au sujet des négociations entre le CNAPESTE et le ministère de l’Education nationale, le premier responsable du FNAPE s’est montré très optimiste. « Il y a des pourparlers qui ont été entrepris par les deux parties, et à chaque fois ils sortent avec un résultat négatif. J’en suis convaincu que tant qu’il y a un dialogue, nous arriverons à un résultat », a-t-il espéré. Tout en ajoutant : « J’ai envoyé une correspondance à la présidence et au chef du gouvernement dans laquelle j’explique en détails les risques, et où je leur demande d’intervenir en tant qu’autorité suprême, mais je n’ai pas encore reçu de réponse !», a-t-il enchaîné.
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Au sujet des négociations entre le CNAPESTE et le ministère de l’Education nationale, le premier responsable du FNAPE s’est montré très optimiste. « Il y a des pourparlers qui ont été entrepris par les deux parties, et à chaque fois ils sortent avec un résultat négatif. J’en suis convaincu que tant qu’il y a un dialogue, nous arriverons à un résultat », a-t-il espéré. Tout en ajoutant : « J’ai envoyé une correspondance à la présidence et au chef du gouvernement dans laquelle j’explique en détails les risques, et où je leur demande d’intervenir en tant qu’autorité suprême, mais je n’ai pas encore reçu de réponse !», a-t-il enchaîné.
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